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Lettre sans destinataire ,

lilasys

Maître Poète
#1
Lettre sans destinataire ,

Le jour se lève, excitée, je décide de vous écrire,
J'ai pris une feuille de papier et tous mes délires,
Tous ces mots emmêlés que je voudrais vous dire,
Je peux, les copier cent fois ,vous les gémir.

J'ai noirci ces idées pour vous conquérir,
J'ai en moi toutes ces pensées qui ne peuvent se ternir,
Elles ne veulent s'envoler sans façon s'endormir,
C'est une manière d'exister, sans être un souvenir.

Les feuilles s'entassent griffonnées, quels mots choisir?

Tous ceux d'un cœur qui sait aimer et veut rebâtir,
Une vie qui veut crier pour un futur et un certain avenir,
Où simplement, s'amuser sans jamais vouloir cueillir.

Trouverais-je la clef et de vous me nourrir ?
Goûter, ce plat épicé du gingembre du plaisir,
Je me permets de rêver sans jamais m'endormir,
Ce besoin de crier, s'il vous plait me laissez pas languir!

L'été est arrivé, cet amour ne peut guérir,
Comme ces fleurs parfumées, il ne sait que fleurir,
Ces marguerites à souhait qui s'effeuillent pour se lire,
Un peu ,pas du tout, j'ai osé les extraire, les abolir.

Je vous ai imaginé différent, comme un soupir,
Ce souffle si léger, qu'en lui je veux m'assoupir,
Sous un ciel étoilé, qui peut tous nous embellir,
Même les plus vilains attraits, ne me feront fléchir.

Je ne peux vous effacer ,de ceci, je veux me punir,
Essayer de vous oublier ,plonger ma vie dans d'autres loisirs,
Tous ces livres que j'ai feuilleté, je n'ai pu les finir,
Votre visage s'imposait à chaque pages, pour me retenir.

Monsieur !Cette lettre timbrée chaque jour se voit vieillir!
Sur cette commode cirée qui elle ne peut comprendre ce désir,
Tous ces mots déchirés, je ne peux vous les faire parvenir,
Seul, mon amour, vous est destiné, Monsieur je vous aime à mourir ....

LILASYS

FB_IMG_1559534113231.jpg

 

céruléen

Maître Poète
#12
Lettre sans destinataire ,

Le jour se lève, excitée, je décide de vous écrire,
J'ai pris une feuille de papier et tous mes délires,
Tous ces mots emmêlés que je voudrais vous dire,
Je peux, les copier cent fois ,vous les gémir.


J'ai noirci ces idées pour vous conquérir,
J'ai en moi toutes ces pensées qui ne peuvent se ternir,
Elles ne veulent s'envoler sans façon s'endormir,
C'est une manière d'exister, sans être un souvenir.


Les feuilles s'entassent griffonnées, quels mots choisir?
Tous ceux d'un cœur qui sait aimer et veut rebâtir,
Une vie qui veut crier pour un futur et un certain avenir,
Où simplement, s'amuser sans jamais vouloir cueillir.


Trouverais-je la clef et de vous me nourrir ?
Goûter, ce plat épicé du gingembre du plaisir,
Je me permets de rêver sans jamais m'endormir,
Ce besoin de crier, s'il vous plait me laissez pas languir!


L'été est arrivé, cet amour ne peut guérir,
Comme ces fleurs parfumées, il ne sait que fleurir,
Ces marguerites à souhait qui s'effeuillent pour se lire,
Un peu ,pas du tout, j'ai osé les extraire, les abolir.


Je vous ai imaginé différent, comme un soupir,
Ce souffle si léger, qu'en lui je veux m'assoupir,
Sous un ciel étoilé, qui peut tous nous embellir,
Même les plus vilains attraits, ne me feront fléchir.


Je ne peux vous effacer ,de ceci, je veux me punir,
Essayer de vous oublier ,plonger ma vie dans d'autres loisirs,
Tous ces livres que j'ai feuilleté, je n'ai pu les finir,
Votre visage s'imposait à chaque pages, pour me retenir.


Monsieur !Cette lettre timbrée chaque jour se voit vieillir!
Sur cette commode cirée qui elle ne peut comprendre ce désir,
Tous ces mots déchirés, je ne peux vous les faire parvenir,
Seul, mon amour, vous est destiné, Monsieur je vous aime à mourir ....


LILASYS

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un très beau poème d'amour douloureux, quelle beauté en ces vers, cette écriture si légère.......j'ai adoré......mes amitiés
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#13
Lettre pour la destinataire.

Le pour de l’élève, excité, je décide de la décrire,
J'appris de sa feuille en papier un ensemble à lire,
Tous ces maux démêlés qu’elle voudrai maudire,
Je veux recopier souvent sans avoir à gémir.

J'ai noirci déridé comme pour me divertir,
J’ai en émoi ces fleurs dépensées qui ne peuvent ternir,
Elles peuvent s'enrôler mais ne peuvent m’endormir,
C'est ma manière d'exulter et dans garder un souvenir.

Tes pages s'entassent barbouillées de morceaux choisis,
Tout creux de ma sœur sert à m’animer que je veux rétablir,
Une envie qui veut créer son futur pour un meilleur avenir,
Où simplement, à muser en son jardin des fleurs ceuillis.

Trouverais-je de la chef ses mots et m’en nourrir ?
Goûter ses plats épicés dès novembre en désir,
Je me permets de rêver et d’y prendre du plaisir,
Ce besoin de m’écrier, pour essayer enfin de l’anoblir.

Le printemps est arrivé d’un humour sincère à quérir,
Comme ces fleurs parfumées qui ne peuvent que s’épanouir,
Ces pâquerettes de poèmes que j'effeuillent à la lire,
Du tout, un peu, j'ai osé en extraire et les adoucir.

Je vous ai paginé différemment, comme un bijou à polir,
Mon souffle si léger, ne saurai ainsi l’assoupir,
Sous son miel étoilé, je ne veux que l’embellir,
De ses plus beaux traits, je ne fait que réfléchir.

Je ne veux rien gommer, de ceci, je veux me prémunir,
Sans oublier de plonger dans sa vie afin de l’ébahir,
Me délivre de touts ses pages que je voudrais finir,
J’envisage d'imposer pour chaque pages un mot à tenir.

Madame, cette lettre d’un timbré qui chaque jour se voit vieillir,
C’n’est point commode de la citer pour comprendre tous ses désirs,
Tous ces maux à déchirer, je ne puis vous les faire parvenir,

Seul, mon humour, vous est destiné, Madame que j’anime de sourires.
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#14
je pense que comme tous les mectons poètes d'ici on aimerait être ce destinataire et qu'une telle lettre nous soit destinée
espérons au moins qu'il lise créa, ainsi il en aura un avant goût
 

lilasys

Maître Poète
#16
Je crois bien que c'est la première Poésie que j'ai lu ce matin aux aurores
silencieusement.

Je passe t'écrire que j'ai adoré tes vers, Plume Amoureuse.

Je me sauve , gros bisous Lola

Merci ma Paule pour ton commentaire qui est toujours fort agréable.
Et tes roses un bijou !
J'aime ta visite car elle laisse ton empreinte avec ce grand coeur parfumé !
De toute beauté
Bisous
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lilasys

Maître Poète
#18
Lettre pour la destinataire.

Le pour de l’élève, excité, je décide de la décrire,
J'appris de sa feuille en papier un ensemble à lire,
Tous ces maux démêlés qu’elle voudrai maudire,
Je veux recopier souvent sans avoir à gémir.


J'ai noirci déridé comme pour me divertir,
J’ai en émoi ces fleurs dépensées qui ne peuvent ternir,
Elles peuvent s'enrôler mais ne peuvent m’endormir,
C'est ma manière d'exulter et dans garder un souvenir.


Tes pages s'entassent barbouillées de morceaux choisis,
Tout creux de ma sœur sert à m’animer que je veux rétablir,
Une envie qui veut créer son futur pour un meilleur avenir,
Où simplement, à muser en son jardin des fleurs ceuillis.


Trouverais-je de la chef ses mots et m’en nourrir ?
Goûter ses plats épicés dès novembre en désir,
Je me permets de rêver et d’y prendre du plaisir,
Ce besoin de m’écrier, pour essayer enfin de l’anoblir.


Le printemps est arrivé d’un humour sincère à quérir,
Comme ces fleurs parfumées qui ne peuvent que s’épanouir,
Ces pâquerettes de poèmes que j'effeuillent à la lire,
Du tout, un peu, j'ai osé en extraire et les adoucir.


Je vous ai paginé différemment, comme un bijou à polir,
Mon souffle si léger, ne saurai ainsi l’assoupir,
Sous son miel étoilé, je ne veux que l’embellir,
De ses plus beaux traits, je ne fait que réfléchir.


Je ne veux rien gommer, de ceci, je veux me prémunir,
Sans oublier de plonger dans sa vie afin de l’ébahir,
Me délivre de touts ses pages que je voudrais finir,
J’envisage d'imposer pour chaque pages un mot à tenir.


Madame, cette lettre d’un timbré qui chaque jour se voit vieillir,
C’n’est point commode de la citer pour comprendre tous ses désirs,
Tous ces maux à déchirer, je ne puis vous les faire parvenir,

Seul, mon humour, vous est destiné, Madame que j’anime de sourires.
Je te lis et j'ai envie de faire une reprise sur ton pastiche!
Mais j'ai choisi le texte le plus long :D...Bon je vais y penser !
J'adore !:p
Bisous
3583800034187_1 (1).jpg
 

lilasys

Maître Poète
#19
je pense que comme tous les mectons poètes d'ici on aimerait être ce destinataire et qu'une telle lettre nous soit destinée
espérons au moins qu'il lise créa, ainsi il en aura un avant goût
Ah il va être servi avec moi ce cher poète!;)
C'est gentil de dire cela ; C'est adorable et ça me touche ..:oops:
Bisous Mon Chat ...
3583800034187_1 (1).jpg
 

lilasys

Maître Poète
#20
Lettre pour la destinataire.
Réponse au mandataire !


Le pour de l’élève, excité, je décide de la décrire,
Je sais tu vas encore une fois nous faire rire,
J'appris de sa feuille en papier un ensemble à lire,
Un cahier qui traine dans le jardin des souvenirs,

Tous ces maux démêlés qu’elle voudrai maudire,
Ce cheveu sur la langue pour tout te dire,

Je veux recopier souvent sans avoir à gémir,
Scanner mon coeur sur le plus haut menhir.


J'ai noirci déridé comme pour me divertir,
Une gymnastique essorée, ne pas forcer l'avenir,

J’ai en émoi ces fleurs dépensées qui ne peuvent ternir,
Un chant lointain que l'écho ne veut vomir,

Elles peuvent s'enrôler mais ne peuvent m’endormir,
Leur parfum entêtant comme un doux soupir,

C'est ma manière d'exulter et dans garder un souvenir,
Ta plume légère note toujours les spammes à en mourir.


Tes pages s'entassent barbouillées de morceaux choisis,
Ce brouillard au fond de mon coeur peut t'appartenir

Tout creux de ma sœur sert à m’animer que je veux rétablir,
Grâce à tes pastiches, le temps ne me fait vieillir,

Une envie qui veut créer son futur pour mieux se nourrir,,
Une peur que personne comprends te fait tressaillir,

Où simplement, à muser en son jardin des fleurs cueillir
Avec quelques rayons de soleil sur la peau à bénir.


Trouverais-je de la chef ses mots et m’en nourrir ?
Tu as une chance sur deux ou bien au loin partir,
Goûter ses plats épicés dès novembre en désir,
Le ramadan est fini, reste la planche du fakir,

Je me permets de rêver et d’y prendre du plaisir,
Quelques clous par ci par là, manière à souffrir,

Ce besoin de m’écrier, pour essayer enfin de l’anoblir
Le reste de mes jours, un coeur pour te servir..


Le printemps est arrivé d’un humour sincère à quérir,
Les fleurs toutes aussi belles ne peuvent nous appartenir,

Comme ces fleurs parfumées qui ne peuvent que s’épanouir,
Souvent privées de liberté dans ce monde au perfide sabir,
Ces pâquerettes de poèmes que j'effeuillent à la lire,
Tapis de saison dessine un horizon à blanchir,
Du tout, un peu, j'ai osé en extraire et les adoucir,
Ici bas, je promets de les arroser sans un jour mentir.


Je vous ai paginé différemment, comme un bijou à polir,
Petit coquin, le monde appartient aux mots à démolir,

Mon souffle si léger, ne saurai ainsi l’assoupir,
Un vent d'autant de Nice est un véritable plaisir,

Sous son miel étoilé, je ne veux que l’embellir,
J'imagine que Monsieur que mes écrits sont à pâlir,

De ses plus beaux traits, je ne fait que réfléchir,
Evitons les lignes escarpées, celles à nous rôtir.

Je ne veux rien gommer, de ceci, je veux me prémunir,
Entre l'encre et la craie il y a un peuple à vêtir,

Sans oublier de plonger dans sa vie afin de l’ébahir,
La piscine est en grève mais tu peux sans façon revenir,

Me délivre de touts ses pages que je voudrais finir,
La mort est incertaine mais on ne veut pas se l'offrir,

J’envisage d'imposer pour chaque pages un mot à tenir,
Ta plume vole mon agenda mais tu sais me vernir.


Madame, cette lettre d’un timbré qui chaque jour se voit vieillir,
Gentleman de rêve à coups de pass pass sait se travestir,

C’n’est point commode de la citer pour comprendre tous ses désirs,
Alors les tiroirs sont à la mode pour un dernier tir,

Tous ces maux à déchirer, je ne puis vous les faire parvenir,
Laissez tomber les bonnes manières, je suis surenchérir,
Seul, mon humour, vous est destiné, Madame que j’anime de sourires,
Bel ami de Créapoème ceci un soir sera la porte pour sortir.


LILASYS / LURON 1